Histoire
Amareia,est née dans une petite ville de Rhône-Alpes en 1976.
Fille d’émigrés Portuguais, se mêlent en elle depuis sa naissance les langues française et portugaise, le déracinement et l’attachement à une terre, les contes et comptines dans chacune des deux langues, les années scolaires passées en France et les vacances d’été au Portugal. Discrètement, Amareia lit beaucoup, dessine, écrit ses premières chansonnettes, scénettes de théâtre, bandes dessinées et commence ainsi au fil des ans, dans une forme de secret intime, sa production musicale et artistique.
Bien que la musique et la danse colorent le quotidien familial, ce n’est en aucun cas un choix de carrière possible. C’est de cette dualité entre attachement et arrachement, que naît en elle l’espoir d’un “Ailleurs” prometteur et rêveur, gravé pour toujours en son cœur. Cet “Ailleurs” prend forme à l’adolescence, lorsque Amareia projette tous ses rêves dans un lieu lointain, mystérieux, et fantastique : Le Brésil. Les paysages, le peuple, la lumière et le rythme des musiques la charment et l'ensorcellent. Par-dessus tout, elle tombe amoureuse de la Bossa Nova.
Elle se promet à elle-même, d’un jour, partir au Brésil…
La vie se poursuit, elle obtient en 98 son Master en gestion commerciale, et fidèle à sa promesse, elle part vivre pendant 1 an à Sao Paulo.
Débute alors la plus grande aventure de sa vie : là-bas, elle découvre en profondeur la culture et les coutumes du Brésil et de son peuple. Elle redécouvre aussi le répertoire de Antonio Carlos Jobim, savoure l’écriture de Vinicius de Moraes et la voix de Maria Bethânia et Gal Costa… Toutes les bonnes choses ont une fin et l’aventure se termine lorsque (par défaut de visa de travail) elle doit revenir en France. Démarre alors une autre aventure, plus commune : elle construit sa vie professionnelle, son entreprise et sa vie de famille, toujours jalonnée de voyages ressourçants et inspirants en Amérique latine.
Et puis à l’aube de la quarantaine, se libèrent enfin l’espace et le temps pour revenir à ses premières amours : le chant, la musique et l’écriture. Elle prend des cours de chant pour mieux connaître sa voix et affiner sa technique. De ses nombreux voyages ressurgissent des mots : “ aime” “mer et “sable, dont la traduction en portugais donne: “Amar” “Mar” “Areia”.
A-Mar-Reia est née : l'évocation de l’autre rivage.
Ecriture, intention musicale et Album
Sur la base de duos guitare-voix, Amareia construit un répertoire Bossa-Nova / Jazz, constitué dans un premier temps de reprises, et chante dans des fêtes privées, des bars et des restaurants.
Puis, souhaitant rester fidèle à la “Letra”, elle entreprend de traduire précisément et d’adapter en français, les textes des plus grands standards de la Bossa Nova : une véritable échappée outre-atlantique en 6 titres, solaire et mélancolique. Car la Bossa Nova se déguise et pas seulement les jours de carnaval… Sous son rythme léger et chaleureux se racontent des histoires d’amour impossibles, des attentes, des pertes, des naufrages.
Elle crée également un conte musical pour enfants, en 10 titres de Bossa Nova, dont 8 sont ré-écrits et chantés en français. Finalement, en 2023, elle exhume de ses carnets d’écriture des poèmes et des refrains pour écrire ses chansons. Elle s’entoure d’une équipe de professionnels et produit un album de 12 titres ; 12 créations musicales chantées en français et parfois en brésilien.
Cet album “La liseuse de coquillages” aux sonorités et aux rythmes variés, constitue un pont imaginaire et poétique entre les deux continents.
Il s’écoute comme un récit de voyage. Paroles et mélodies invitent à l’exotisme, en quelques secondes nous voilà dans les ruelles pavées d’une ville au passé colonial, des maisons colorées, des parfums de fleurs tropicales et plus loin : l’éclat d’une plage bordée de cocotiers. Certaines chansons sont des odes aux dieux brésiliens, d’autres sont des récits de rencontres ou de fortuits retours en enfance.
Musicalement, les registres se mêlent et s’harmonisent : bossa nova, reggae, blues, new bossa … et des arrangements modernes qui apportent à certains titres des accents hip-hop. On reconnaît peut-être là, la touche artistique et l’expertise du réalisateur et arrangeur Jean-François Delfour, double disque d’or sur l’album de MC Solaar “Qui sème le vent récolte le tempo” et directeur artistique des Rencontres d’Astaffort pendant 10 ans, aux côtés de Francis Cabrel.
Langueur, douceur, couleurs… sont au programme de cet album que l’on savoure comme un cocktail au coucher de soleil. L’intention est là : prendre dans les bras, cœur à cœur, mouvement des vagues, les yeux se ferment. On y est ! Là, quelque part, ici et ailleurs…
Equipe
Joackim Larroque a commencé le piano classique à l'âge de 6 ans, puis se forme en guitare auprès de son père et son oncle, musiciens de blues et de rock.
Il accompagne des artistes de renommée internationale comme Annie-Flore Batchiellilys avec qui il fait plusieurs tournées au Gabon, tout en poursuivant sa carrière avec d’autres artistes : Yom, Fran Ray aux univers de pop anglaise, Irish Rollers groupe de musique irlandaise dans lequel il joue de la mandoline et Caledjo groupe de rumba/latino.
Joackim est également compositeur et arrangeur pour le spectacle vivant, notamment auprès de la Compagnie Nansouk pour laquelle il a composé les bandes-sons des spectacles.
Il joue également de la musique brésilienne avec Païsamba, Felipe Neguin, Mathieu "Tétéu" et Raoul De Souza.
Christophe Leseure né d’un père fan de Louis Amstrong, et neveu d’un guitariste de jazz qui seront les piliers de sa culture jazzistique et brésilienne !
Il débute la batterie et les percussions en 78, cela l’emmène en tournée à travers le monde : Brésil, Inde, Japon, Chine, Colombie ,Etats-Unis, La Réunion... et il se réjouit des rencontres qui vont avec...!
Natif d’Agen, il fait partie de la troupe des Acrostiches depuis 20 ans. Il compose notamment les musiques de leurs spectacles.
En tant que batteur et percussionniste, il a fait partie de nombreuses formations comme « Mr Jo et ses Gura » « Trio d’en bal », « Mayu Columbi » dans laquelle il propose une musique fidèle aux racines et à la richesse des traditions culturelles du Brésil.
En parallèle, il travaille également en studio et accompagne la chanteuse anglo-égyptienne Natacha Atlas.
Jean-Luc Fabre, bassiste et contrebassiste, originaire du Lot et Garonne, a passé plus de 20 ans sur les scènes béarnaises.
Musicien polyvalent, il officie cependant généralement dans le jazz et les musiques qui lui sont proches, comme la musique afro-cubaine et la musique brésilienne.
Connu surtout en tant qu'accompagnateur, il est également compositeur et arrangeur et présente, en quartet, dans son projet artistique personnel "Couleurs du temps qui passe" un répertoire constitué de compositions sélectionnées parmi celles accumulées pendant 30 ans de production musicale.
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